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Publié par Soizick David, le 01 Février 2024 à 14:35

Saint-Nazaire : grève à l’éducation nationale, le témoignage d’un enseignant en colère

400 manifestants sont venus participer à une casserolade devant les locaux de l'inspection académique pour défendre l'avenir de l'école publique.

Thierry Flora, enseignant à Saint-Nazaire et représentant F.S.U élu à la CAPD (commission administrative paritaire départementale) participait au mouvement de grève de ce 1er février. Il s'est exprimé au micro sur la colère qui grandit dans le corps enseignant. « Cette colère vient d'une souffrance au quotidien dans les écoles » constate-t-il. Un corps enseignant qu'il juge depuis plusieurs années « malmené par le gouvernement », et dont « les perspectives plutôt sombres inquiètent ».

« Un premier appel qui doit être entendu »

Les ouvertures et fermetures de classe pour la rentrée de septembre 2024 seront prochainement annoncées. « On est encore dans une perspective de suppression de postes alors que les besoins sont immenses », regrette Thierry Flora, pour qui le souci réside également dans les absences de remplacements, qui perturbent la continuité des enseignements. La condition des AESH chargés d'accompagner les enfants en situation de handicap a été rappelée lors de la manifestation, « leur métier est à construire » insiste-t-il. Sur chaque sujet, le problème du manque de moyens donnés à l'école publique préoccupe, « Alors que le futur SNU représente un coût important, il aurait fallu le donner à la création de postes » poursuit il. La casserole organisée ce jeudi 1er févier était pour l'enseignant « un premier appel pour être entendu (..) et informer les familles su ce qui se prépare ».

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« Un premier appel qui doit être entendu »

Les ouvertures et fermetures de classe pour la rentrée de septembre 2024 seront prochainement annoncées. « On est encore dans une perspective de suppression de postes alors que les besoins sont immenses », regrette Thierry Flora, pour qui le souci réside également dans les absences de remplacements, qui perturbent la continuité des enseignements. La condition des AESH chargés d'accompagner les enfants en situation de handicap a été rappelée lors de la manifestation, « leur métier est à construire » insiste-t-il. Sur chaque sujet, le problème du manque de moyens donnés à l'école publique préoccupe, « Alors que le futur SNU représente un coût important, il aurait fallu le donner à la création de postes » poursuit il. La casserole organisée ce jeudi 1er févier était pour l'enseignant « un premier appel pour être entendu (..) et informer les familles su ce qui se prépare ».

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